Agissez maintenant contre l'Alzheimer
La maladie d'Alzheimer est une maladie qui se développe lentement et qui empire avec le temps.
On l'associe le plus souvent aux pertes de mémoire : vous égarez vos clés, vos lunettes... Vous ne vous souvenez plus d'avoir vu un film, lu un livre, rencontré une personne.
Mais ces symptômes ne sont rien par rapport à ce qui suit :
Bientôt, des événements plus inquiétants se produisent : vous retrouvez vos chaussures dans votre frigo.
Vous vous perdez dans votre propre quartier. Vous n'arrivez plus à remplir un formulaire pourtant simple...
Vous faites des efforts sur vous-même. Vous vous organisez avec un calepin pour « aide-mémoire ». Mais, dans 40 % des cas, la maladie d'Alzheimer atteint le stade suivant : les mots vous manquent etsoutenir une conversation vous est de plus en plus difficile. Vous n'arrivez plus à mettre votre machine à laver en route. Vous faites des cauchemars terribles, qui se poursuivent parfois lorsque vous êtes éveillé (hallucinations) !
Les personnes de votre entourage le plus intime (vos enfants, votre conjoint) deviennent peu à peu pour vous des étrangers. Vous ne reconnaissez plus leurs visages. Vous oubliez votre âge, votre propre nom. Vous ne pouvez plus vous habiller ni vous laver seul. Vous sombrez en dépression.
Inutile de dire que cette maladie peut être un drame et un déchirement pour tout l'entourage du patient.
Une maladie mortelle
Le dernier stade de la maladie est le décès du patient. C'est aujourd'hui la huitième cause de décès dans les pays industrialisés. La maladie d'Alzheimer y progresse à une vitesse effarante, touchant 350 000 personnes en France, ce qui n'empêche pas que l'on s'attende à une forte augmentation dans les années à venir.
Selon le World Alzheimer Report 2010, 35,6 millions de personnes vivent avec une maladie d'Alzheimer dans le monde. Elles seront 65,7 millions en 2030 et 115,4 millions en 2050, dont plus d'un million en France. (1)
Le problème est que la médecine est totalement démunie.
Les médicaments contre Alzheimer ne marchent pas
En fait, l'absence de solution contre l'Alzheimer est si totale que les recommandations officielles aux médecins sont de ne pas faire de dépistage de cette maladie chez les personnes qui ne présentent pas encore de symptômes. Selon la doctrine médicale actuelle, on considère en effet qu'il ne sert à rien de s'inquiéter, et d'inquiéter le malade en lui annonçant qu'il est atteint par l'Alzheimer, alors que rien ne peut être entrepris pour l'aider !
Un espoir est né il y a quelques années avec la découverte des inhibiteurs de l'acétylcholinestérase, des substances qui ralentissent la dégradation de l'acétylcholine, une molécule permettant la communication entre les neurones. On s'est aperçu que c'est, entre autres, un manque d'acétylcholine qui ralentit le fonctionnement du cerveau des malades d'Alzheimer.
Empêcher que l'acétylcholine ne soit détruit devrait donc maintenir les facultés cérébrales.
Malheureusement, ces « inhibiteurs de l'acétylcholinestérase » se sont révélés déclencher de violents effets secondaires : nausées, vomissements, troubles digestifs, mais pas seulement. Certains entraîneraient des tremblements et des aggravations des symptômes de la maladie de Parkinson. (2)
De plus, selon la revue Prescrire, ces médicaments ne seraient efficaces que pour 10 % des patients. Etils ne ralentiraient la maladie que de quelques mois.
Un autre médicament courant contre l'Alzheimer, la mémantine, agit par blocage des récepteurs NMDA. Les effets indésirables communs incluent confusion, vertiges, somnolence, céphalées, insomnie, agitationet/ou hallucinations, soit l'effet inverse de celui recherché.
De plus, en mai 2011, une nouvelle analyse des données de trois tests cliniques a montré que les patients aux premiers stades d'Alzheimer ne bénéficiaient d'aucune amélioration de leurs fonctions mentales ni de leur capacité à exécuter les tâches quotidiennes, par rapport à un placebo. Chez les patients aux stades suivants, les chercheurs n'ont constaté que de « maigres » (meager dans le texte) améliorations.
Beaucoup de médecins adoptent donc une attitude de résignation face à la maladie d'Alzheimer : s'ils donnent des médicaments aux malades, c'est avant tout pour ne pas les décevoir, faire en sorte qu'ils ne se sentent pas abandonnés. Les mesures concrètes qu'ils prendront seront du type « sociales » (attribution d'une aide à domicile, aménagement du lieu de vie, placement en institut), et palliatives : somnifères, calmants, antidépresseurs.
Et pourtant, les médecines naturelles offrent aujourd'hui des solutions qu'il est absurde de continuer à ignorer.
Vitamine D et curcumine
La vitamine D et la curcumine, le pigment qui donne au curcuma sa couleur jaune-orangée, sont deux substances très intéressantes contre l'Alzheimer.
La curcumine a en effet un puissant effet anti-inflammatoire et anti-oxydant qui protège les neurones de votre cerveau contre les attaques de radicaux libres. Mais ce n'est pas tout : de récentes recherches ont montré que la curcumine agit en s'immisçant dans les membranes de vos cellules, où elle en change les propriétés physiques pour les rendre plus solides. (3)
Les chercheurs ont déterminé que :
- la curcumine est plus efficace pour empêcher la formation de fragments de protéines dans le cerveau (qui bloquent les communications entre les neurones) que beaucoup d'autres traitements potentiels contre l'Alzheimer ;
- le faible poids moléculaire et la structure polaire de la curcumine lui permet de franchir la barrière hémato-encéphalique plus facilement (la barrière qui protège le cerveau du système sanguin) ;
- les symptômes de l'Alzheimer causés par l'inflammation et l'oxydation sont soulagés par les puissantes propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires de la curcumine.
Concernant le niveau de vitamine D des personnes touchées par les premiers signes d'Alzheimer, c'est un des premiers facteurs à mesurer, et à corriger si le moindre déficit apparaît (niveau inférieur à 30 ng/mL).
De forts liens entre un faible niveau de vitamine D chez des malades d'Alzheimer et de mauvais résultats à des tests cognitifs ont été révélés. (4) Les chercheurs pensent qu'un niveau optimal de vitamine D pourrait stimuler le niveau de neurotransmetteurs et d'autres messagers chimiques dans le cerveau, etprotéger les neurones. Comme la curcumine, la vitamine D pourrait avoir certains effets bénéfiques sur l'Alzheimer grâce à ses propriétés anti-inflammatoires, et ses effets stimulants sur le système immunitaire.
Or, les déficits en vitamine D sont très courants dans les pays industrialisés, surtout dans les régions du nord, et pendant l'hiver.
Augmenter votre consommation de curcuma et votre niveau de vitamine D, en vous exposant au soleil, fait partie des mesures de bases d'une stratégie de prévention contre l'Alzheimer.
L'exercice physique peut aussi aider à combattre l'Alzheimer
De nouvelles recherches montrent que les personnes touchées par l'Alzheimer ont moins de protéines PGC-1alpha dans leur cerveau. Il s'agit d'une protéine dont on observe également une baisse dans la maladie de Parkinson. Or, l'exercice physique augmente le niveau de PGC-1alpha, ce qui pourrait expliquer en partie pourquoi l'exercice physique semble si bénéfique pour entretenir le bon fonctionnement du cerveau.
Les recherches publiées à ce sujet sont très convaincantes : une étude a montré qu'une simple activité physique modérée chez les personnes d'âge moyen réduit de 39 % le risque de développer des troubles cognitifs mineurs. A un âge plus avancé, l'exercice physique entraîne encore une baisse du risque de 32 %. (5)
Une autre étude a même conclu que des exercices intenses d'aérobic sur une période de six mois suffisent à améliorer les fonctions cérébrales des personnes qui sont déjà touchées par des troubles cognitifs mineurs, qui sont souvent le signe d'une phase transitoire entre un état normal du cerveau et le déclenchement d'une démence ou d'une maladie d'Alzheimer.
Conseils supplémentaires contre la maladie d'Alzheimer
Si seule 0,5 % de la population est touchée avant 65 ans par la maladie d'Alzheimer, entre une personne sur 25 et une personne sur 50 sont touchés au-delà de 65 ans. Au-delà de 80 ans, 15 % de la population est affectée par la maladie, soit près d'une personne sur six !
Dans la mesure où la médecine est très loin d'avoir un traitement efficace à proposer contre l'Alzheimer, je conseille fortement de ne pas s'arrêter aux conseils ci-dessus, surtout si vous avez quelqu'un de votre famille qui a été touché par la maladie (cela veut dire que votre risque est plus élevé).
Souvenez-vous que les problèmes de mémoire ne sont PAS un signe normal de vieillissement.
Ils sont au contraire le signe que vous avez besoin d'agir de façon ciblée maintenant.
Dans la mesure où une stratégie complète et vraiment efficace exige beaucoup plus de détails, j'ai demandé au nutritionniste Thierry Souccar de préparer un dossier complet Santé Nature Innovation sur la question.
Ce dossier a été terminé hier et il s'intitule « N'attendez pas que votre médecin vous déclare Alzheimer : ces précautions sont une solution réelle contre la maladie ».
Il a été envoyé ce matin aux abonnés à Santé Nature Innovation qui sont à jour de leur abonnement.
Ce dossier contient neuf stratégies supplémentaires contre l'Alzheimer, y compris lorsque la maladie s'est déjà déclenchée, plus :
- la substance naturelle qui marche aussi bien que les médicaments contre l'Alzheimer, mais sans les effets secondaires ;
- l'eau minérale indispensable et le régime alimentaire qui aident à enrayer la maladie ;
- l'acide aminé qui favorise la production d’énergie par les « centrales énergétiques » de votre cerveau, les mitochondries. Cet acide aminé a de plus l'avantage de « nettoyer » les mitochondries de leurs toxines. A des doses allant de 1,5 à 3 grammes par jour, cet acide aminé peut améliorer l'état des personnes souffrant d’Alzheimer, sans le moindre effet indésirable.
- Votre médecin vous a déclaré que vous aviez trop de cholestérol et vous a conseillé un régimeet des médicaments pour le faire baisser ? Cela pourrait être une très mauvaise idée pour vos artères mais aussi pour votre cerveau. De nouvelles recherches montrent que le cholestérol n'est pas le grand ennemi que l'on pourrait croire. Il peut même être votre précieux allié contre l'Alzheimer. A lire de toute urgence page 4 du dossier, surtout si vous prenez des statines ou des bétabloqueurs.
Je rappelle que Thierry Souccar est un des spécialistes de nutrition et de biologie du vieillissement les plus connus du public francophone pour son expertise scientifique des nouvelles médecines naturelles.
Il est l'auteur, avec l'avocate Isabelle Robard, du best-seller « Santé, Mensonge et Propagande », paru en 2004 aux éditions du Seuil, qui s'est vendu à plus de 80 000 exemplaires. Ce livre a fait l'effet d'une bombe dans le monde de la médecine française. Il révélait comment de nombreuses maladies, considérées comme incurables, peuvent être soignées, aujourd'hui, grâce aux nouvelles découvertes scientifiques des médecines naturelles.
Il a écrit plus de quinze autres titres sur le sujet, ainsi que des centaines d'articles dans Le Nouvel Observateur et Sciences & Avenir. Et il a réuni, dans ce dossier « N'attendez pas que votre médecin vous déclare Alzheimer : ces précautions sont une solution réelle contre la maladie », les résultats d'années de recherches sur le sujet.
Nous publions ensemble une fois par mois un dossier complet qui traite d'une maladie : ce mois-ci, c'est l'Alzheimer, mais il y aura aussi les maladies cardio-vasculaires, les problèmes de prostate, la ménopause, les insomnies, les problèmes de vue, d'audition, l'ostéoporose, la dépression, le cancer, etc.
Vous pouvez recevoir le dossier « N'attendez pas que votre médecin vous déclare Alzheimer : ces précautions sont une solution réelle contre la maladie », ainsi que les onze dossiers mensuels suivants de Santé Nature Innovation, au prix de 39 euros.
Cela fait un peu moins que le prix de deux cafés par mois (3,25 euros).
C'est une manière de soutenir notre travail en faveur des médecines naturelles, tout en faisant bénéficier votre famille et votre entourage de solutions susceptibles de faire économiser des années de douleurs etde prise de médicaments.
Tout ceci pour la moitié du prix d'une seule consultation chez un naturopathe.
Pour recevoir votre dossier « N'attendez pas que votre médecin vous déclare Alzheimer : ces précautions sont une solution réelle contre la maladie », ainsi que les onze dossiers suivants de Santé Nature Innovation, cliquez sur le lien sécurisé suivant : https://www.paypal.com/cgi-
Vous pouvez régler par chèque, mais dans ce cas là merci de bien noter au dos de votre chèque votre adresse email.
Les chèques doivent être libellés à : Nouvelles Publications de la Santé Naturelle.
Puis être envoyés dans une enveloppe à :
Abonnement "Santé Nature Innovation" - Nouvelles Publications de la Santé Naturelle - 6 rue Watteau - 92400 Courbevoie.
Si vous avez un problème pour votre paiement, je me tiens à votre disposition pour vous aider au 01 45 81 93 18 avec mon assistante Christelle (aux heures de bureau).
Bien à vous et à votre santé!
Jean-Marc Dupuis